DÉSIR DE CONTRÔLE & PEUR DE GROSSIR
Et si on arrêtait les régimes !
Les régimes amaigrissants pèsent lourd et rapportent gros. Ils valent un pesant d'or à l'industrie de la minceur, ils sont dangereux et font grossir. Rien que ça. Ah oui ! "Accessoirement", ils présentent des risques pour la santé plus ou moins graves tels que des effets néfastes sur le fonctionnement du corps, et notamment pour les os, le cœur et les reins, ainsi que des perturbations psychologiques, notamment des troubles du comportement alimentaire (TCA), de la dépression et une perte de l'estime de soi
L'analyse des données scientifiques faite par l'ANSES, établit également que la pratique des régimes peut provoquer des modifications profondes du métabolisme énergétique du corps. Ces modifications sont souvent à l'origine du cercle vicieux d'une reprise de poids, éventuellement plus sévère, à plus ou moins long terme. Une des conséquences majeure et récurrente des privations et des exclusions pratiquées, quelque soit le régime est paradoxalement, la reprise de poids, voire le surpoids : plus on fait de régimes, plus on favorise la reprise pondérale !
De la diététique ...
à la thérapie comportementale
Mon approche comportementale vise à permettre à chacun de se découvrir en tant que mangeur. Elle permet de maintenir ou d'atteindre son poids naturel et ne se prête d'aucune sorte à la prescription de menus ou de listes d'aliments interdits ou autorisés. Elle ne se définit pas non plus en un accompagnement à la perte de poids.
Loin des injonctions et des règles à suivre "il faut, je dois".
En me centrant sur la relation entretenue entre l'alimentation, le corps et l'esprit, j'aspire vous accompagner de manière singulière, avec délicatesse et surtout sans régime. Vraiment ! Il me tient à coeur de vous permettre de cheminer vers une alimentation intuitive, socle d'un bien être global. Ne vous laissez pas dépossédé de votre liberté alimentaire !
ÊTRE MEMBRE DU G.R.O.S
Groupe de Réflexion sur l'Obésité & le Surpoids.
"Contrairement aux professionnels de la nutrition qui ne considèrent l'obésité que sous son aspect diététique et n'obtiennent ainsi que des résultats à court terme, les membres du GROS envisagent le problème dans une optique plus large incluant notamment les raisons du comportement alimentaire inadaptée afin d'aider le patient à le résoudre à long terme.
Les personnes en difficulté avec leur poids et leur alimentation ont souvent besoin d'une aide psychologique, mais celle-ci ne suffit pas à ce que le comportement alimentaire se modifie.
Un travail qui aborde notamment la relation aux aliments et un soutien pour apprendre à respecter les sensations alimentaires est nécessaire pour modifier le comportement alimentaire". - Le GROS.
En tant que membre du GROS, je me suis engagée à respecter la charte de l'association
LA DÉMARCHE DE SOIN
Trois axes de prise en soin
Il existe 3 facteurs de dérégulation du comportement alimentaire. C'est pourquoi ma prise en soin psycho-nutritionnelle est tri-axiale. Elle permet d'apprendre à faire confiance à vos mécanismes de régulation pondérale. Elle vise à savoir vivre vos émotions sans chercher à les éviter pour minimiser l'évitement émotionnel. Et de faire la paix avec votre corps, le ressentir, l’habiter et cesser l’évitement corporel.
Croyances
& Restrictions
Comprendre et repérer vos mécanismes de restriction afin de cheminer vers une alimentation basée sur l’écoute des vos sensations alimentaires. Cette étape intervient après avoir travaillé sur les croyances liées à différents aliments, sources d’émotions inconfortables et incompatibles avec toute forme de régulation.
Évitement
& Émotions
Les réponses alimentaires émotionnelles sont un défi de taille, important pour vous. Apprendre à reconnaître la souffrance émotionnelle et augmenter la tolérance de vos inconforts émotionnels, permet de faire face à l' impulsivité alimentaire, même quand les émotions sont infimes.
Valeurs
& Acceptation de soi
Le travail thérapeutique de l'acceptation concerne : le corps, l’acceptation de soi et de son poids d’équilibre, le ré-investissement du corps et les compétences sociales nécessaires pour avoir une bonne qualité de vie malgré un corps qualifié de « hors normes ».